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Dossier Auderset sur smartphone

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Communiqué de presse 

Démonstration

Alain Auderset lance sa BD « Willy Grunch » sur smartphone et tablette

Le dessinateur suisse à succès Alain Auderset fait le pas du numérique avec l’édition de sa 5ème BD « Les indécrottables questions de Willy Grunch » sur Smartphone (iPhone, Androïd et iPad), dès le 9 décembre prochain. Ce lancement est le fruit d’une collaboration entre le bédéiste de St-Imier et l’éditeur AveComics (www.avecomics.com), leader et pionnier de la bande dessinée sur support numérique. Cette BD humoristique – déjà récompensée à deux reprises par des Prix internationaux – raconte l’histoire d’un parisien qui débarque dans le Jura bernois avec pour seul bagage sa guitare… Pour l’heure, Alain Auderset a déjà vendu en auto-édition plus de 97’000 exemplaires de ses 6 différentes BD, dont plus de 5000 exemplaires de « Willy Grunch » (www.auderset.com/comics/willy-grunch/).

« Je vois l’explosion du marché numérique comme une vraie chance pour les bédéistes comme moi. Un scénario efficace et un bon coup de crayon restent de même qualité qu’ils soient imprimés dans un livre ou visible sur écran» estime Alain Auderset. Et d’ajouter : « Si la lecture d’une BD sur écran est de moins en moins marginale, cette tendance va considérablement augmenter d’ici peu; c’est notamment une opportunité de garder l’intérêt des « digital natives » et surtout d’être lu partout et n’importe quand dans la journée».

AveComics, leader de la BD sur support numérique

Lire une bande dessinée sur écran – via la solution technologique innovante d’AveComics – permet une découverte dynamisée d’une BD, avec diverses animations, effets de transition et encore zooms particuliers. Véritable précurseur, la société française de Montpellier AveComics a testé avec succès ses premières BD sur smartphone dès 2009. Aujourd’hui, elle compte près de 2000 BD au catalogue de son site Internet et travaille avec plus de 80 éditeurs dans le monde. Avec plus de 50’000 clients de l’application et des ventes atteignant les 200 BD numériques par jour, AveComics est un partenaire de poids pour le dessinateur suisse Alain Auderset. D’un point de vue plus global – depuis l’émergence des versions numériques – plus d’1 million de BD ont déjà été consultées au sein de ce marché en pleine expansion.

Alain Auderset : recordman dans le milieu de l’auto-édition suisse

Né en 1968, Alain Auderset est père de quatre enfants et vit à St-Imier. Personnage atypique, il a connu la pauvreté et l’anonymat pendant plusieurs années avant de voir son talent récompensé par le succès et les Prix! Recordman dans le milieu de l’auto-édition suisse avec plus de 110’000 BD vendues, Alain Auderset passe avec brio des planches de BD à celles de la scène avec son one-man-show alliant humour grinçant, réflexion sur le sens de la vie et dessins en live.

St-Imier, le 9décembre 2011

Pour tous renseignements complémentaires :

Alain Auderset, tél : 032 941 15 19 ou atelier@auderset.com www.auderset.com

AveComics : www.avecomics.com / presse@avecomics.com

 

Alain Auderset en un clin d’œil 

BD

Idées reçues I : Septembre 2001
Marcel : Novembre 2003

Robi : Novembre 2005

Idées reçues II : Novembre 2006

Willy Grunch Novembre 2008

Les vacances de Marcel : Septembre 2010

Lancement de sa BD Willy Grunch sur iPhone Décembre 2011

 
Prix et récompenses obtenus
2002 : Best-seller de l’auto édition en Suisse
2006 : Mention Spéciale au Prix International de la BD francophone chrétienne
2007 : 1er Prix international de la BD francophone chrétienne d’Angoulême
2007 : 1er, 3ème et 4ème prix des internautes du « International Christian Comics

Compétition » d’Albuquerque

2008 : 1er Prix International de la BD francophone chrétienne d’Angoulême

 

Biographie et parcours professionnel

Naissance : Alain Auderset est né à Granges (Suisse), le 27 octobre 1968.
Domicile : Saint-Imier dans le Jura-bernois.
Etat civil : Marié et père de quatre enfants.
Formation : Ecole des Arts appliqués de La-Chaux-de Fonds, CFC de graphiste.
Profession : Se consacre à plein temps à la B.D depuis 1994. Atelier à St-Imier.
Entame en parallèle une carrière d’humoriste depuis début 2010
Loisirs : Guitariste dans le groupe de musique Saahsal –il accompagne sa femme qui est chanteuse – et « conférencier-humoriste »[:]

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Event: Ballet Dessiné (novembre et décembre 2011)

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Chers amis de Compassion Suisse,
 
Ce samedi à Vevey, la Compagnie Igokat et son ballet dessiné nous ont présenté un magnifique spectacle. A noter que deux des danseurs de la troupe ont fait partie de la Compagnie Béjart pendant des années. L’animation d’Alain Auderset et la présentation d’une courte vidéo de Compassion amènent une touche particulière.
 

Nous vous encourageons d’en parler autour de vous, puisque ce spectacle aura lieu à nouveau le samedi 10 décembre au Théâtre de l’Octogone à Pully, à 20h.
Veuillez noter également que la représentation du 9 décembre est annulée.

 Le ballet inspiré de la dernière BD d’A.Auderset.
voir extrait 
voir articles.
voir l’interview TV.[:de]
Das Ballett inspiriert durch den neusten Comic von A. Auderset.
Ausschnitt ansehen
Artikel ansehen
Fernsehinterview ansehen[:]

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le témoignage de Suzy

[:fr]Hello tous, une fois n’est pas coutume, ci-dessous un témoigne que j’ai reçu dans ma boite aux lettres et que je partage avec vous tel quel (je lui ai demandé l’autorisation). C’est super encourageant…
Cher Alain, 
Tout d’abord je tiens à te remercier pour l’oeuvre que tu accomplis à travers ton travail. J’aime beaucoup ce que tu fais et je voulais te raconter ma petite histoire, non pas pour exposer ma petite existence à un inconnu, mais pour te dire à quel point tes dessins peuvent marquer une vie et t’encourager à continuer encore et encore. 
Il y a quelques mois, voilà que je traînassais chez mon meilleur ami Bastian (en fait je l’attendais, il était en train de se doucher) et je sors de sa bibliothèque une certaine BD intitulée « idées reçues ». 
Dans sa bibliothèque y a aussi des Bibles, des livres qui parlent de Jésus et tout, mais bon, moi ça m’intéresse pas trop tout ça tu vois. Alors bon, voilà que je me mets à lire cette BD… et puis, oooh ! Le piège ! Un truc de chrétien ! Bon comme c’est quand même pas mal drôle, je continue à lire. Et je t’avoue que sur le moment je ne trouvais pas vraiment ça rigolo ; je me suis plutôt sentie un peu bête… visée quoi ! 
Bref, Bastian sort de sa douche, c’est l’heure de partir et il me voit lire cette BD. Il me la tend en sortant et me dis « tiens prends la chez toi… et, ah oui, tiens aussi une Bible, tu risques d’en avoir besoin aussi après ». N’importe quoi, mais bon, c’est quand même mon meilleur ami et depuis le temps qu’on n’est pas d’accord sur le sujet, ça peut pas faire de mal de regarder ça de plus près… 
Alors chez moi (en cachette) je lis ta BD, je vais voir ton site internet, j’en rigole, j’y pense sérieusement… et quelque chose se passe à l’intérieur de ma petite personne sans foi ni loi. J’ai besoin d’en savoir plus, la Bible est là, cachée sous mon lit, je la bouquine (toujours en cachette hein !), je me mets à prier, mais je ne suis pas sûr de faire juste, je doute. 
Et puis, mon cheminement se fait gentiment, je rencontre des bonnes gens qui m’apportent des réponses, alimentent mon intérêt, échangent leurs expériences. Une fois même, je vais à l’Eglise, c’est à Sainte-Croix et je te rencontre, je t’entends, je pleure, je ris. Je doute de moins en moins, mais je doute toujours. 
Il y a quelques jours, je rentre du boulot (je suis animatrice), j’en ai ras-le-bol, je suis fatiguée, énervée, j’ai beaucoup de poids sur les épaules. Alors je sors, je vais dans le pâturage faire un peu de tir à l’arc (ça c’est mon grand dada à moi, mon truc de détente, ça me canalise) et je m’éloigne de la cible. Sans comprendre ce qui me prend je m’éloigne encore et encore, jusqu’à être à près de 25 mètres de ma cible, ce qui représente une distance énorme par rapport à mon type d’arc. Il m’est quasi impossible de tirer mes flèches dans la cible mais je mets Dieu au défit ; je crie à haute voix « Seigneur, si tu es là, si tu existes, si tu es avec moi, fais que toutes 
mes flèches touchent la cible ». C’est un peu bête de faire ça ! Si ça ratte ? A quelle déception je m’expose ! Bref, je bande mon arc (désolée mais on dit vraiment comme ça), je vise, je tire et BAM, pile au centre, dans le petit rond jaune. DINGUE, INCROYABLE ! Bon, hasard peut-être… alors on y va avec une deuxième flèche. Elle vient se coller à la première ! La troisième pareil, jusqu’à ma dixième et dernière flèche… toute dans 4 cm carrés d’espace. Des larmes de joies coulent le long de mes joues, je sais que le Seigneur est là, qu’il m’aime, et plus jamais, jamais je ne douterai de Lui. 
J’ai appelé mon meilleur ami pour lui rapporter mon expérience, il est heureux lui aussi. Maintenant nous sommes devenus plus qu’amis, nous allons continuer notre Route ensemble. Le sujet qui fâchait est devenu le sujet qui nous uni. 
Alors voilà, Dieu est entré dans ma vie (à 26 ans, vaut mieux tard que jamais), l’Amour aussi, et cela a commencé par le choix hasardeux de ta bande dessinée dans une bibliothèque. Pour reprendre ton expression que j’adore : « un vrai piège à Païens » ! 
Je suis tellement heureuse d’être tombé dedans, il ne pouvait pas m’arriver mieux. Maintenant, à moi de continuer mon chemin et de me rapprocher de Dieu, j’ai hâte de Le connaître encore plus. 
Bien à toi, que Dieu te garde. 
Suzy [:]

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c'est qui ce type?!?

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Cool! A l’occasion des fêtes de Pâques (l’anniversaire des lapins), mes parents m’avaient permis de veiller tard avec eux; à la télé était diffusé un film spécial.
Il relatait l’histoire d’un roi d’un autre monde qui avait de formidables pouvoirs magiques, et il était discret, modeste. Même (dans ce film en tout cas) s’il ne souriait jamais, il aimait sincèrement les pires déchets et vivait parmi eux (euh… je parle des gens rejetés par la société). Il les aimait tellement… tous ses miracles étaient pour eux.
‒ Mais… mais qui c’est, ce type!?
Et mon père d’ajouter:
‒ C’est de plus une histoire vraie.
‒ Hein!? Jamais je n’ai entendu une chose pareille! Pourquoi on n’en parle jamais? Com…?
… Jésus…
 
Le «procès»
Le peuple pouvait voter soit pour Barabas meurtrier qui pue des pieds, soit pour Jésus.
Les méchants avaient monté la foule pour crier:
‒ Barabas! Barabas!
Ceux qui scandaient le nom de Jésus étaient peu nombreux. Seuls sa maman, deux ou trois potes et… moi. Debout sur le fauteuil, je sautais et criais avec eux:
‒ Jésus! Jésus! Jésus!
Mon père:
‒ Eh! ho! ce n’est qu’un film!

 

C’est quoi, ce monde?!
Puis l’inconcevable est arrivé: Barabas a gagné…
C’est quoi, ce monde dans lequel je suis né? Comment peut-on condamner aussi injustement? Je trouvais insupportable de regarder qu’on le frappe, lui crache dessus, l’insulte, le maltraite, lui fasse porter cette grosse poutre en forme de croix…
Lui qui a été si gentil pour tous ces gens… ils le clouèrent dessus!
Attends, Ho-HO! ce n’est pas possible…!
Avec ses pouvoirs, il lui suffit d’un souffle pour tous les niquer définitivement de la surface du sol! Mais au lieu de ça, il a supplié son papa, un certain «Dieu» (#%?! Qui c’est, ça, encore?!):
‒ Père, pardonne-leur, ils ne savent pas ce qu’ils font.
Moi: BOUM!

 

Mais qui est ce type!?
Comme je pleurais sa mort à chaudes larmes, mon père a relativisé:
‒ Bah! De toute façon, après, il ressuscite!
Hein?! Mais personne ne revient à la vie, normalement…!!! Qu’est-c…?

 

«Salut Alain, c’est moi…»
Bien des années plus tard, adolescent, j’ai trouvé des bédés chrétiennes dans les déchets (www.tournesol.ch). Et c’est seulement à ce moment-là, en larmes, que j’ai compris que Jésus avait subi la croix volontairement par amour pour nous…
… pour moi.

 

Pour eux
Voilà maintenant plus de seize ans que je crée des bédés (que je participe à des spectacles et autres bêtises) pour, à mon tour, souvent partager le message. C’est un chemin difficile accompagné de joie, mais aussi de moqueries, de privations; et, quand j’ai envie de baisser les bras, je retrouve courage en me souvenant des deux personnes pour qui je fais tout ça, ce petit garçon assis sur un fauteuil un soir de Pâques qui aurait tellement voulu savoir
et son Dieu qui aurait tellement voulu lui dire.
Alain Auderset

[:en]Cool! For Easter (the bunnies’ special day), my parents let me stay up late with them to watch a special film.
The film told the story of a King come from another world who had incredible magic powers, who was quiet and modest. Even though (in this film in any case) he never smiled, he genuinely loved the very worst type of human trash and lived alongside them (I mean people that the rest of society has rejected). He loved them so much…all his miracles were for them.
‒ But…but who is this guy!?
My father added:
‒ Moreover, it’s a true story.
‒ Huh!? I’ve never heard anything like this before! Why do we never talk about this? Wha…?
… Jesus…
 
The ‘trial’
The people could either vote for Barabas a murderer, who’s got smelly feet to boot, or for Jesus.
The baddies had stirred the crowd up to shout:
‒ Barabas! Barabas!
There were only a few who were shouting for Jesus – just his mom, one or two friends and… me. I jumped up and down on my seat, shouting:
‒ Jesus! Jesus! Jesus!
My father:
‒ Hey! Enough of that! It’s only a film!
 
What kind of world are we living in?!
Then the unthinkable happened: Barabas won…
What kind of world have I been born into? How could you find someone so innocent to be guilty? I couldn’t bear to see him being struck, spat upon, insulted, mistreated, having to carry this heavy beam in the shape of a cross…
He had been so kind to all these people… and they’re nailing him to it!
Wait, hey, stop! this can’t be happening!
With all his special powers,  with one breath he could wipe them from the face of the earth! But instead of doing that, he asks his dad, ‘God’ (#%?! So who’s that then?!):
‒ Father, forgive them, for they know not what they do.
Me: BLAM!
 
But who is this guy!?
As I was weeping over his death, my father tried to put things into perspective:
‒ Huh! In any case, he comes alive again afterwards!
Whaaat?! But nobody ever comes back to life, at least.. What’s going on…?
 
‘Hi Alain, it’s me…’
Many years later, when I was a teenager I found some Christian comics in the trash (www.tournesol.ch). And it was only then, through my tears, that I understood that Jesus had undergone the cross of his own free will, through love for us….
… for me.
 
For them
I’ve been writing comics for over sixteen years now (and taking part in special events and other foolish things), giving me in turn frequent chances to share his message with others. It’s not an easy path to take, there is joy, but also mockery and hardships to be endured. When I feel like giving up, I find strength by remembering the two people for whom I do all of this, the little boy sitting upon a chair on that Easter evening who would have given anything to know more about Jesus
and his God, who would have given anything to tell him more.
 
Alain
 

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Super Papa

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La rencontre
Je venais à peine de prendre mon chemin pour me balader dans la forêt,
quand je vis quelqu’un venir en face de moi.
Mon coeur s’illumina quand je reconnus mon plus jeune fils
(je l’aime tellement ce petit gars…)
Sans qu’il eut besoin de me dire quoi que ce soit,
j’avais déjà lu sur son visage que quelque chose clochait.
– s’lut papa, je reviens d’un anniversaire…
– aie! Je comprends, ça n’a pas dû être facile….
– mais non p’pa! c’est juste qu’on s’est disputé avec le copain!
Je m’assis avec lui sur un escalier.
Je m’intéressais sincèrement à son récit (avec autant de sérieux que si c’était une histoire de grand).
Je ne lui assenais aucun conseil, juste, je l’écoutais attentivement.
– pis papa, j’ai un devoir d’anglais compliqué,
où je dois coller les photos de chaque membre de ma famille avec un texte de présentation et… et je ne sais pas…
– ne t’inquiète pas bien-aimé, super papa est là! (par moment, j’mis crois!)
Je rebroussais chemin, ouvris mon ordi et eus soin de bien lui montrer les démarches à suivre et, lui, assis sur mes genoux de les exécuter.
C’aurait été plus vite de tout faire moi-même,
mais il n’aurait rien appris et pour dire vrai j’aime faire durer ces moments ensemble.
Le temps qu’on passe avec ceux qu’on aime n’est jamais perdu,
(mais toujours gagné).

Le travail accompli, nous étions aussi satisfaits que, l’auraient été deux vikings après un joyeux massacre!
Nous avons trinqué un gros verre de sirop, en déclamant un viril:
– « santé! »
Début d’automne 
Je repris ma balade direction la forêt,
on est carrément DANS un chef d’oeuvre du plus incroyable des Artistes.
Les éléments sont Ses instruments, Ses (c)rayons soleil multicolore
et Ses derniers temps: Il Se lâche! Il gicle mille peintures festives sur les arbres,
les entraînent dans une danse joyeuse tout autour de moi.
Le tout sur un fond blanc de brume subtile, dévoilant par la même Sa profonde sensibilité de poète.
Malgré ses efforts, il ne réussit pas à me distraire,
j’avais la tête embrumée par mes soucis d’adulte,
Il opta alors pour une autre approche…
La rencontre
Alors, quelqu’un vint en face de moi sur le chemin.
De loin, il avait déjà lu sur mon visage que quelque chose clochait…
C’était L’auteur Divin en personne:
super Papa…
Alain
www.auderset.com[:en]
The meeting
I’d just started out on a walk in the forest,
when I saw someone coming towards me.
My heart leapt when I recognized my youngest son
(I love this little guy so much…)
He didn’t have to say anything,
I’d already seen from the look on his face that something was up.

– Hi pop, I’ve just been to a birthday party…
– ouch! I understand, that can’t have been easy…
– it’s not that, pop! I just had an argument with my friend, that’s all!

I sat down with him on a step.
I was genuinely interested in what he had to tell me (I listened just as carefully as I would have with an adult).
I didn’t bombard him with advice, I just listened attentively to him.

– and then, pop, what’s more, I’ve got a really hard English test to hand in,
I have to stick photos of each member of my family and write something about them and…and I don’t know how…
– don’t worry precious, super pop is here! (sometimes, I even believe it myself!)

I went back home, turned on my PC and showed him exactly what he had to do, and he sat on my lap and got on with it.
It would have been quicker for me to do it all myself,
but he wouldn’t have learnt anything and to tell you the truth, I like to make these times we have together last.

The time we spend with those whom we love is never wasted,
(rather, it’s always time we’ve saved).

Our work finished, we were as pleased with ourselves as a couple of Vikings who’d just finished a bit of pillaging and plundering!
We toasted the occasion with a big glass of cordial and a manly ‘cheers’

Early Fall 
I continued on my way, towards the forest.
We really are right slap bang IN the masterpiece of the greatest Artist of them all.
The elements are His tools, His rays of sun the multicolored palette from which he paints, these (His) last times: He doesn’t hold back! He scatters a thousand joyous shades upon the trees, drawing them into a jubilant waltz around me,
all against a subtle backdrop of white mist that crowns Him the master poet.

Despite his efforts, He is unable to take my mind off my worries,
my head was a muddled mass of grown-up cares,
So He decided to take another tack…

The meeting
Then, someone came towards me along the path.
From afar He had already seen from the look on my face that something was up…
It was the Divine artist Himself:

super Pop…
 
Alain[:]